Que retiens-tu de la formation ?
Nozha : Quelques concepts clés. La neutralité du facilitateur, les objectifs et les intentions d’un atelier de facilitation qui ne sont pas forcément connus de tous. Maintenant on sait qu’il y a une partie livrable à produire mais aussi une intention. Un mouvement, un d’effet secondaire comme on a aimé nommer cela.
Laila : Je pars aussi avec des clés sur ce qui concerne la posture de du facilitateur et comment à travers des ateliers on peut aboutir à des résultats plus rapidement et avec plus d’efficacité en gardant les participants bien impliqués.
Un moment qui t’a marqué ?
Héloïse : Ce dernier jour-là on a dû concevoir un atelier sur une problématique qui était plus ou moins proche de nous. J’ai bien pu comprendre l’importance de cette formation pour le cadrage, pour la définition des objectifs, de l’intention. Tout ce que vous nous apprenez on a pu le mettre en pratique aujourd’hui.
Innocent : Aujourd’hui j’ai eu à moi-même jouer le rôle du facilitateur et effectivement j’ai été très agréablement surpris parce qu’on est allé sur un thème qu’on essaie souvent nous-mêmes de mettre en pratique. Ou alors qui concernaient les ateliers réels de notre expérience de tous les jours de consultants. J’ai été agréablement surpris qu’en 40 min on a plutôt sorti des choses qui avaient du sens, d’où encore la puissance de toutes ces méthodologies.
Comment vas-tu appliquer ces apprentissages à ton travail ?
Sara : Je pense aux différents ateliers de conception qu’on fait avec nos clients. Je pense que dans pas mal de cas où on peut utiliser ces méthodes de facilitation surtout quand on a des acteurs qui n’ont pas tout le temps les mêmes visions. On a besoin de d’utilise des techniques comme celles-ci pour faire émerger les idées et les converger vers une même direction.
Nogaye : Cela va me permettre aussi d’outiller mes clients pour pouvoir traiter certains sujets qui sont parfois touchy ou compliqués. Pouvoir les rationaliser, les rendre accessibles, pour arriver à des solutions rapides et viables.
Livia : Ces ateliers sont tellement universels qu’ils peuvent être appliqués à énormément de cas d’usage. Par exemple on a été mélangé entre 2 secteurs d’activité complètement différents et pourtant on a tous travailler ensemble. Ne tient qu’à nous aussi d’avoir ces armes-là. C’est une formation et ne tient qu’à nous de prendre ces outils et de pouvoir nous les approprier et les appliquer à notre métier.
Héloïse : Je recommanderai pour apprendre à animer un atelier différemment de ce qu’on fait habituellement, de sortir un peu du cadre tout en cadrant.